Ne pas céder à la peur : Réponse des Goys à Monsieur François Hollande.
Réponse à Monsieur François Hollande, Président de la République Française
Monsieur le Président, suite à l’attentat d’aujourd’hui 26 juin en Isère, vous appelez à ne pas céder à la peur. Outre le fait qu’il est assez comique de se voir donner des conseils de courage par l’homme le plus protégé de France, nous ne saurions trop vous conseiller d’enfin regarder les choses en face.
Le problème n’est pas et n’a jamais été la peur que ces terroristes veulent nous inspirer.
La France n’a pas peur et ne réagit pas sous le coup de l’émotion. La France en a assez des décisions ubuesques et décalées d’une classe politique au grand complet qui, elle, est terrorisée par sa propre impuissance et sa propre incompréhension de ce qui se passe autour d’elle mais qui s’accroche à ses mythes, tant économiques que sécuritaires.
Est-ce céder à la peur de constater qu’en 6 mois de protection des lieux de cultes et institutions juives de France (qui ne concernent qu’une population d’environ 500 000 personnes), les forces de l’ordre et le dispositif Vigipirate tirent la langue, alors que le catalogue des cibles des terroristes ne fait que s’allonger, passant des églises aux sites Seveso ?
Monsieur le Président, sans être grands devins ni Bac+10 en géostratégie, il nous semble pouvoir vous prédire que ce n’est qu’une question de temps avant que les bâtiments publics (36 000 mairies en France, pour ne citer qu’elles) ne soient ciblés comme ils l’ont déjà été en toute impunité à Nanterre en 2002. Nous pouvons aussi, sans être de géniaux tacticiens, prédire des attaques contre les écoles primaires, collèges et lycées où des jeunes terroristes vengeront leur frustration d’échec scolaire tout en accomplissant le Djihad contre l’école républicaine qui refuse d’être une Madrassa. Et là aussi, ils l’ont déjà été.
La question, Monsieur le Président, est de savoir quand vous ouvrirez les yeux. Et, rassurez-vous, la question ne vous est pas adressée en propre parce que vous seriez un président socialiste ! Elle est posée à l’ensemble de la classe politique qui semble se diviser entre doux rêveurs idéalistes qui continuent à croire que tout s’arrêtera quand on aura vaincu le chômage et de dangereux tyrans en culottes courtes qui veulent nous faire des lois de Nuremberg 2.0 en tripatouillant le droit sur la nationalité et établir une Gestapo qui, dans les faits, servira à tout sauf à combattre le terrorisme islamique. Le pire est que cette division n’en est pas une et que, beaucoup, dans votre parti comme dans tous les autres assument parfaitement l’angélisme idéologique d’une part et la tyrannie liberticide de l’autre.
Quand, Monsieur le Président, les élites politiques de notre pays vont-elles enfin cesser ces atermoiements criminels ? Quand le gouvernement, soutenu d’un bloc par tous les républicains attachés à la France et à ses valeurs, va t’il déclarer officiellement la guerre à tous les groupes terroristes islamiques qui menacent la France, entrer en action résolument contre eux et traiter les sympathisants de ces groupes avec la sévérité réservé aux ennemis de la patrie ?
« Fasciste islamophobe ! » allez-vous nous qualifier en riposte ! Eh bien non, Monsieur le Président, nous ne mettons pas tous les musulmans dans le même panier et en refusant de déclarer résolument la guerre à l’Islam radical, du Hamas à l’Etat Islamique en passant par Al-Shebab, Ansar Dine, Boko Haram, Al Qaeda et autres, c’est vous même qui les mettez dans le même panier. Si fondamentalement vous pensez que les musulmans de France et d’Europe ne sont pas dans le même panier que ces gens-là, il n’y a aucun amalgame à déclarer la guerre à ceux qui nous la font déjà depuis presque 40 ans sans qu’on réagisse réellement. Dois-je vous rappeler l’embuscade palestinienne qui a défiguré le Général Salvan alors qu’il cherchait à maintenir la paix aux Liban ? Dois-je vous rappeler les 58 parachutistes français du Drakkar dont le sang n’a jamais été vengé ? Dois-je vous rappeler les détournements et les attentats sur des avions français, qui commençent en 1976 à Entebbe ? Dois-je vous rappeler la longue liste d’attentats, avec en apogée symbolique, l’attaque contre des militaires français en uniforme et contre une école juive de Toulouse ?
Monsieur le Président, sans aucun esprit partisan, idéologique, politique ou religieux, je vous en conjure. Déclarez une guerre sans reddition à ceux qui portent les armes contre la République Française. Déclarez une guerre sans merci à ceux qui veulent séparer les musulmans de France de leur pays pour en faire des sujets du Califat Islamique. Déclarez une guerre totale contre ceux qui pillent et détruisent, qui réduisent en esclavage, qui tuent avec des ravissements de cruauté et qui veulent répandre leur haine sectaire criminelle partout dans le monde.
Il n’y a pas d’amalgame dans cette guerre ! Il n’y a pas de discrimination dans cet affrontement. Il n’y a pas de clivage dans ce conflit.
D’un côté, il y a la Vie, la Liberté, la République, les Droits de l’Homme et du Citoyen, la Laïcité où chaque religion et spiritualité peut se vivre en paix à l’abri et dans le respect des lois d’un Etat impartial qui garantit la jouissance des droits à tous les citoyens sans discrimination.
De l’autre, il y a la Mort, l’Asservissement, un Etat Islamique, la Charia et la discrimination où chaque religion ou spiritualité ne peut se vivre que dans la peur et la clandestinité par rapport aux lois religieuses d’un Etat partial qui prend à son compte la persécution, les exactions et la privation des droits et la mort des sujets qui ne se soumettent pas aux interprétations les plus inhumaines des textes islamiques.
D’un côté, il y a la France, où Juifs, Musulmans, Chrétiens et athées peuvent vivre en paix.
De l’autre, il y a ceux qui veulent la tuer.
Et ce qui nous fait peur, Monsieur le Président, ce ne sont pas ces derniers. Les djihadistes, pas plus que tous les autres ennemis de nos valeurs, ne remettent pas en cause nos convictions et notre attachement à la France Libre et Républicaine. Ce qui nous fait peur, c’est que la classe politique française, dont vous êtes actuellement le leader démocratiquement élu et que nous respectons comme tel, ne voit pas la ligne de front qui existe déjà et ne semble pas prête à ce combat pour défendre la France. Ce qui nous fait peur, ce ne sont pas les actions des terroristes, c’est l’inaction de nos chefs.
L’Armée française est une grande armée, fière, belle, compétente, efficace et humaine. Elle compte dans ses rangs des hommes et des femmes de très grande valeur, des stratèges hors-pair, des tacticiens expérimentés. Elle a une expérience longue et douloureuse dont elle sait tirer profit. L’Armée française est un lion en cage qu’il faut libérer, à qui il faut donner sa mission et faire confiance. Vous avez, Monsieur le Président, l’outil idéal pour agir et la France républicaine, réalistement idéaliste et authentiquement humaniste vous soutiendra sans réserve.
Au nom de la France et de tout ce qu’elle représente, Monsieur le Président, agissez.
Ces Goys qui défendent Israël
Doit-on comprendre ici ou ailleurs qu’en fait les forces de l’ordre arrivent en France à leur limite d’efficacité face aux islamistes sur le sol de la Patrie? Les Français vont-ils,armer et constituer une résistance, des milices ? Je tremble, mais je sais que les citoyens vont basculer en masse vers l’extrême-droite. Terrible évolution en si peu de temps.
Une lettre ouverte à laquelle j’adhère complètement. Dommage qu’elle ne soit pas publiée dans les médias au nom de tous les goys qui aiment leur pays et l’humanité.