Hadj Amin Al-Husseini, le Grand Nazi de Jérusalem
Dites bonjour à l’ordure !
Parmi ceux qui auraient du finir avec une cravate trop serrée à Nuremberg en 1946 mais qui ont échappé à la justice par des complicités qui aimeraient se faire oublier (Vatican, Croix-Rouge, Interpol, entre autres),
Mohammed « Hadj » Amin Al-Husseini (1895-1974) aurait bien mérité de la potence!
Jeune homme à la moralité déjà douteuse, il sert comme officier dans l’armée Ottomane avant de trahir pour s’allier aux Britanniques en 1917. Issu d’une riche et influente famille de religieux arabes de Palestine, il devient Grand Mufti de Jérusalem en 1921 par un calcul politique des Britanniques alors qu’il est un cancre qui n’a pas brillé dans ses études coraniques à l’université d’Al Ahzar du Caire. Mais il est un Al-Husseini et il a hérité de sa lignée le cynisme, la cruauté et le machiavélisme. En 1929 et en 1936, il déclenche les grands soulèvements arabes qui résulteront notamment sur le massacre et l’éradication de la communauté juive d’Hébron en 1929 alors que les juifs sont présents à Hébron depuis l’Antiquité. Les troubles et les massacres commis par les Arabes sous ses ordres conduisent les juifs à organiser leur défense et mènent à la création de la Haganah et des différents groupes terroristes juifs, comme l’Irgun notamment.
Déchu et expulsé par les Britanniques, il finit par trouver refuge à Berlin en 1941 ou il devient un fervent soutien de l’Allemagne Nazie. Hitler lui promettra qu’après la victoire de l’Allemagne, tous les juifs vivant dans les pays arabes seraient exterminés et que « l’heure de la libération est proche ». Dans ses mémoires, Hadj Amin Al-Husseini rapporte qu’en 1943, Himmler l’a informé que 3 000 000 de juifs ont déjà été exterminés. Mais il n’est pas seulement un complice passif. Il intervient personnellement auprès d’Eichmann pour empêcher l’expulsion vers la Palestine de 3000 enfants juifs de Bulgarie et recommandant leur extermination. Il donne aussi sa caution morale et son soutien au recrutement pour la 13ème Division SS « Hanschar » composée de musulmans bosniaques dont il forme les imams aumôniers.
Après la guerre, il se réfugie en France ou les autorités françaises, qui comportent beaucoup de vichystes qui se sont découvert une flamme gaulliste en août 1944, le traitent avec beaucoup d’égards, refusant les demandes d’extradition britanniques pour collaboration et yougoslaves pour crimes de guerre. L’attitude française, écoeurante de cynisme et d’hypocrisie, lui permet d’échapper aux procès qu’il mérite et de se réfugier en Egypte. Il devient le principal instigateur du conflit entre juifs et arabes mais sans jamais perdre de vue ses propres ambitions de pouvoir et de fortune, en semant la zizanie dans l’alliance arabe et en s’en mettant plein les poches par les ventes immobilières aux juifs qu’il interdit aux autres arabes, ce qu’on appelle en terme économique un délit d’initié. Refusant toute idée de compromis, de partage, de négociation, il lance les arabes du Moyen-Orient dans un affrontement dont on subit encore les conséquences aujourd’hui dans l’interminable conflit israélo-arabe. Il est le principal responsable du malheur des populations arabes de Palestine et il est l’inspirateur et fondateur de la cause palestinienne. Yasser Arafat était son neveu, ainsi que la porte-parole historique de l’OLP Leïla Shahid. Aujourd’hui encore, Mahmoud Abbas suit l’exemple et la route établie par Hadj Amin Al-Husseini.
Avis à tous ceux qui soutiennent la cause palestinienne telle qu’elle est présenté par l’Autorité Palestinienne, le Hamas, le Hezbollah, Al Qaeda ou Khamenei: vous vous placez dans l’héritage idéologique d’un mafieux qui mélangeait pouvoir, argent et religion, qui n’hésitait pas à prôner des massacres pour son pouvoir et son capital personnel et qui aurait du finir pendu haut et court à Nuremberg pour complicité de crime contre l’humanité.
Pug